Charles Eugène de Foucauld de Pontbriand, est né le 15 septembre 1858 à Strasbourg et mort le 1ᵉʳ décembre 1916 à Tamanrasset, c’est un officier de cavalerie de l’armée française devenu explorateur et géographe, puis religieux catholique, prêtre, ermite et linguiste.
Charles de Foucauld devient orphelin à l’âge de 6 ans et est élevé par son grand-père maternel, après avoir intégré l’école spéciale militaire de Saint-Cyr, son classement lui permet de choisir la cavalerie. Il rejoint donc l’école de cavalerie de Saumur.
Le 1er décembre 2016 (le jour des 100 ans, de la mort de Charles de Foucauld), un jeune charpentier, Charle survit à un accident professionnel à Saumur, une enquête théologique a relié les deux personnages. En effet le jeune charpentier a survécu à une chute de 15 m dont il est ressorti indemne, malgré un abdomen transpercé de part en part par un morceau de bois provenant d’un banc, il s’en est sorti sans fracture et sans aucune lésion d’organe vital. La scène a eu lieu lors de travaux de restauration de la chapelle de l’institution Saint- Louis, un lycée catholique. Le Vatican a diligenté une enquête théologique pour relier ce que l’Église considère comme « un miracle ». Après avoir consulté le corps médical, celle-ci a établi, entre autres, que seule « une chance exceptionnelle » a sauvé Charle, le charpentier.
Charles de Foucauld sera donc canonisé le 15 Mai 2022 à Rome.
« Martineau est une entreprise française reconnue pour la qualité de ses produits et de ses prestations. Aujourd’hui, consciente de la rareté des métiers qui sont les siens, Martineau lève le voile sur un précieux savoir-faire à la française, celui de la fabrication d’objets porteur de sens tels que les médailles religieuses, les chapelets, les décorations et insignes, les badges, les articles de souvenirs, la bijouterie et les pièces métalliques pour les industries du luxe. »
Source : site internet de Martineau
« Fondé en 1825 à Paris et installé depuis 1994 en Anjou, CBG Mignot perpétue depuis près de deux cents ans. Chacune de nos figurines est toujours coulée, montée et minutieusement peinte à la main, selon des procédés ancestraux où la main et l'œil de l'ouvrier ont gardé leurs privilèges.ans la grande tradition des soldats de plomb.
Le caractère fondamentalement artisanal de nos productions fait qu'aucune des figurines n'est semblable à une autre, que chacune d'entre elles est, en quelque sorte, un original, et qu'on y sent toujours la main de l'ouvrier qui a participé à sa création. Cette personnalisation de chaque figurine n'enlève rien à l'exactitude historique qui est un des grands principes de notre atelier. Dernier attrait, et non le moindre pour le collectionneur : la rareté, liée au rythme très lent de la fabrication. »
Source : site internet de CBG Mignot